MISE À JOUR AUJOURD’HUI : Une fuite d’image choquante montrerait prétendument le dispositif de sédation de Diddy utilisé pour se droguer

De récents dossiers judiciaires ont révélé des détails choquants sur Sean « Diddy » Combs, accusé d’avoir participé à des agressions sexuelles lors de plusieurs soirées. Selon un rapport de Page Six, de nouvelles preuves ont été soumises par l’avocat Tony Buzbee, qui représente 120 victimes présumées. Parmi les preuves figurent des images de Diddy en état d’ébriété et dansant lors d’une soirée privée dans sa chambre d’hôtel au Planet Hollywood, entouré de jeunes femmes et de vodka.

L’une des victimes a également fourni des photos de flacons en plastique qui auraient été utilisés par Diddy ou son équipe pour enrichir des boissons contenant du GHB, communément appelé « drogue du viol ». Les derniers documents judiciaires accusent le rappeur d’avoir agressé au moins sept victimes, dont l’une n’avait que 13 ans au moment du viol présumé. La femme, aujourd’hui âgée de 37 ans, affirme que Diddy et deux autres célébrités l’ont violée lors d’une soirée post-VMA en 2000.

L’équipe juridique de Diddy a fermement nié ces allégations. Dans une déclaration à Page Six, ses avocats ont déclaré : « M. Combs et son équipe juridique ont pleinement confiance dans l’intégrité du processus judiciaire. Devant le tribunal, la vérité prévaudra, démontrant que M. Combs n’a jamais agressé sexuellement qui que ce soit, qu’il soit adulte ou mineur, homme ou femme. Le rappeur continue de clamer son innocence au milieu d’accusations croissantes.

Ces accusations inquiétantes font écho à des affirmations antérieures formulées dans un procès distinct intenté par Jane Doe. Elle a accusé Diddy d’avoir mélangé du GHB avec de l’huile pour bébé pour des actes sexuels violents et non consensuels. Des documents judiciaires allèguent que Diddy a secrètement enrichi du champagne et des cocktails avec du GHB lors de soirées luxueuses, obligeant les invités à consommer la drogue avant ou pendant les événements. De plus, les victimes ont affirmé avoir reçu des lotions ou des huiles contenant du GHB à absorber par leur peau, les rendant ainsi plus vulnérables aux agressions.